Dans des temps reculé, la terre d’Amakna fut souillée par le sang.
Une guerre entre les bontariens et les brakmariens divisée les deux peuples.
Les raisons nous sont encore obscur, il est dur de trouver les raisons de cette guerre meurtrière.
Dans les rangs brakmariens il y avait un général renommé et craint de ses soldats, son nom seul suffisait à terrifier l’armée brakmarienne ainsi que l’armée adverse. Il possédait un grand sens tactique mais ne ressentait aucune pitié lorsqu’il s’agissait des prisonniers adverses.
La vue du sang et des entrailles ne l’effrayait guère, bien au contraire, cela le réjouissait et l’encourageait a continuer dans sa barbarie.
Son nom est toujours craint de nos jours, ils réveillent de mauvais souvenirs aux bontariens.
Féca des ténèbres, c’est ainsi qu’on le nommait.
Lors d’une attaque de bonta par les hommes de Féca, l’armée bontarienne se jeta à corps perdu dans la bataille, ils étaient inférieur en nombre, mais leur courage fut exemplaire (dur de dire ça pour des bon a rien )
Durant ce massacre féca fut touché par une flèche tiré par un Cra… la bataille continua, des milliers de soldats furent tués. Les dalles blanches sont devenues rouges. Quelques fois un bras tombait, des entrailles jonchées le sol. Les poupées des sadidas ne résistèrent pas longtemps……
Apres ce bain de sang, toujours dan nos mémoires, et une déroute des brakmariens, dans un élan de pitié, ou de générosité, les bontariens décidèrent de rapatrier le corps de Féca sur sa terre natale.
Mais les démons jugèrent que la mission de se héros n’était pas finit.
Il fut envoyé dans les enfers, où il subit les pires atrocités, ce qui a eu pour effet d’attiser sa haine contre les bontariens.
Gr’anus, le dieu brakmarien jugea que l’heure de la vengeance avait sonné.
Il convoqua Féca et lui dit ceci :
« Féca, sur nos terre tu es considéré comme un martyr, tu as péris et donné ton sang pour notre gloire.
Tu as passé plus de 500 ans dans les enfers, ta puissance n’a jamais était aussi grande.
Tu vas retourner sur terre, à l’aide d’une armée de mercenaire que tu aurais formée tu divulguera notre parole a travers les villes et villages.
Le monde d’amakna appartient à brakmar, que celui qui ne se plie pas à notre volonté meurt dans de terrible souffrance.
Que celui qui a une quelconque appartenance avec ses abrutis d’anges meurent, que ses yeux nous servent de décoration pour le sapin d’halloween.
Que mon nom soit craint et respecté de tous.
Tu seras mon représentant sur terre, je laisse a ta guise le choix de ton armée. »
C’est ainsi que notre glorieux héros format l’illustre guilde des revenants des ténèbres.
Cette guilde fut principalement composée d’anciens généraux, tel qu’Andorphine le sanguinaire, ou encore Dandydah l'écarisseur de poulpes hypocondriaques, et Lulu chan l’Etripeur.
Mais tout cela ne représentait pas une armée.
En divulguant la mauvaise parole, nos héros ont réussi à convertir plusieurs valeureux guerriers.
De nos jours, la guilde se compose toujours de noyau, ainsi que d’autres guerriers :
Xula qui maîtrise l’élément terre, qui devint aussi la trésorière. D’ailleurs féca se plaint souvent qu’il manque quelques kamas dans les caisses.
Yurim, qui même si ne vient pas souvent participer aux massacres, est un bon élément
Eyleane maîtresse des arcs et de la punition.
Nemeth, l’éni de poche
Et Bsen un démon assoiffé de sang,
Depuis ce jour, les taux de mortalité remonta, surtout chez les anges.
Tel une horde de scaras en rut, la où ils passaient, l’herbe ne poussait plus.
Le sang était redevenu le quotidien de notre héros.
Il fit des colliers avec les tripes des ennemies morts au combat, et les offrit aux petits enfants,
Comme pour leur signifier que leur avenir se trouve a brakmar, sinon leurs tripes finiront au cou d’un de leur camarades.
La population brakmarienne ne cessa plus de monter au contraire de celle de bonta qui ne fit que régresser.
De temps en temps, pour se rappeler la tristement célèbre bataille, il fit une descente à bonta, pour égorger des anges devant leurs enfants, pour que ceux-ci se rappellent à tout jamais du mal que lui on fait subir les bons à rien.