Avant de commencer de tiens à dire que c'est l'avant dernière partie avant la fin de la partie 1, je mettrais en ligne la partie 2 début janvier.
Je suis aller vite avec la partie 1
because, le manque d'action, de sang, d'aventures et autres ne fascinent personne. De plus comme mon scanneur est réparé je vous ferais des planches de BD
!
Maintenant la suite du RP:
Alors que la situation est la plus désespéré que jamais personne n'aurais osé imaginer.La jeune Belle-Ronce sadidette adopté par la famille Bradfort se rebelle contre son père qui a tué sa mère adoptive!Ceci raconte la fin du combat de la poupée dans la fumée et le début du chaos, spectateurs j'ai nommé :BONT' HAIS BRAK'Les poupées avancèrent en même temps on voyait les sacrifiées qui en marchant allumaient leurs mèches afin de sauter au bon moment, les fourbes qui préparait leurs pouvoirs hypnotiques afin de semer la confusion dans le rang ennemi, les bloqueuses qui protégeaient les gonflables, les uniques soigneuses de la mort coute que coute !
Ce fut l'entre-choc total
KADABOOM, la surpuissante volant dans les airs scrutait la bataille d'en-haut afin de ne pas être touché, rang ennemi comme celui de sœur on voyait de hautes explosions fumantes qui créaient déjà une épaisse brume de guerre noire menaçante qui m'empêchait de voir cette terrible mini-guerre.Seul les explosions diverses et hautes et la surpuissante de père m'étaient visibles de mes pauvres yeux fascinés par la bataille.
Les bruits gémissants et aigus des poupées paraissaient devenir de moins en moins nombreux, les explosions s'étaient toutes arrêtées, plus de sacrifiées surement plus de gonflables aussi.Rien, 5 minutes plus tard, plus aucun bruit.RIEN.La brume se dissipait maintenant ... La vérité allait éclater, qui avait gagné!La brume s'était dissipée ... une horde de poupées fourbes était derrière Pat.Ma sœur avait perdu.Elle était en sang ... plus aucune de ses poupées n'étaient là, juste elle, inconsciente et à moitié morte.Je m'évanouis, j'avais trop mal et la vue de ma sœur dans cette état m'avait surement trop choqué à l'époque.
Je me réveillas dans un lit blanc soigné surement par un Eniripsa je n'avais plus aucune blessure. En gros écrit sur la porte se voyait:
INFIRMERIE BONT' HAIS BRAK'To Be Continued